Manu et Nono, deux commerçants de centre-ville de Dourdan, lancent un appel. Avec une vacance commerciale du commerce de centre-ville qui n’arrête pas de croître, les artisans et commerçants veulent de vraies solutions et lancent un mouvement.
Des commerçants de centre-ville en action
Avec des chiffres de 10 à 15% de commerces vacants dans de grandes villes, en croissance de près de 4% en moyenne sur les dernières années, les commerçants de centre-ville ont compris que les instances représentatives peinent à apporter des solutions innovantes, pragmatiques et pérennes.
Les CCI sont-elles en attente d’action. Les associations nationales manquent-elles d’idées. D’autres intérêts sont-ils en jeu ? By Nono et Manu ont décidé pour leur part d’agir à partir de la base car il faut dépasser la simple sensibilisation aux difficultés des commerces. Il est urgent d’agir pour ne pas voir notre tissu économique local, favorable aux emplois de proximité, disparaître sous nos yeux.
“By Nono et Manu” le disent, les artisans et commerçants sont en colère
Une proposition : le changement de prélèvement des cotisations sociales
“By Nono et Manu” ne sont pas seulement des commerçants importants pour la ville de Dourdan avec près de 5 commerces sur la ville et dans la région. Après le constat de la situation de marasme qui ronge petit à petit le centre-ville et le commerce rural, By Nono et Manu demandent que soit mise en place une action d’envergure nationale afin de maintenir le commerce de quartier.
La couverture médiatique locale n’est ainsi plus suffisante. Une action de grande envergure doit être menée pour une prise de conscience rapide des pouvoirs publics pour sauver la “première entreprise de France. Une action qui puisse rebattre les cartes et redonner un second souffle à toutes les entreprises de France.
Chaque artisans-commerçant, dans sa zone, doit ainsi pouvoir contribuer à vivre, faire vitre et à assurer son rôle social de proximité indispensable.
Soyez aimables
Ne servez pas trop lourd.
Même si on vient peu nous sommes quand même un client.
Faites qu’on ait envie de revenir.
Le propos est juste que le commerce local puisse encore exister pour vous accueillir