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Mahasoa : 1re marketplace pour coiffeurs et barbiers indépendants

Mahasoa fait entrer la profession de coiffeur indépendant dans l’ère du e-commerce en ouvrant la première marketplace permettant aux coiffeurs et barbiers de vendre leurs produits capillaires professionnels sur internet. Une « place de marché » professionnelle et communautaire afin de connecter leur activité sur le web et offrir à leur clientèle une nouvelle offre sécurisée et exhaustive.

Mahasoa marketplace pour coiffeurs et barbiers

“Sur les 58.000 salons de coiffure indépendants en France, seulement 2% vendent aujourd’hui sur internet. Et si la vente de produits capillaires représente en moyenne 7% du chiffre d’affaires d’un salon de coiffure, nous estimons que celui-ci peut facilement monter à 21% grâce à l’e-commerce.”
Sonia Serph-Dumagnou, présidente et cofondatrice de Mahasoa

1 million ! C’est le nombre de personnes qui se rendent chaque jour dans un salon de coiffure en France. Mais si aujourd’hui le marché des coiffeurs représente le second secteur de l’artisanat, la profession peine à se digitaliser et à proposer des services de qualité sur internet. Qui plus est, les salons de coiffure et barbiers indépendants font face à la concurrence des grossistes qui vendent en masse leurs produits capillaires en ligne. Dans les salons, la vente de produits capillaires représente en moyenne 7% du chiffre d’affaires. Et si la quasi-totalité des coiffeurs aimerait vendre plus de produits, notamment via l’e-commerce, très peu ont le temps, et les ressources pour le faire. Mahasoa signifie « qui fait du bien » en malgache et c’est l’objectif à la fois pour les coiffeurs mais aussi pour les clients. Mahasoa a donc été créé pour redonner la main aux salons de coiffure et leur permettre de vendre, via notre marketplace clé en main, les produits capillaires professionnels qu’ils conseillent à leur clientèle. “.Notre volonté est d’augmenter leur chiffre d’affaires tout en satisfaisant les clients” précise Sonia Serph-Dumagnou, présidente et cofondatrice de Mahasoa

Où pouvez-vous acheter des produits de coiffure professionnels sur le Web ?

Shampooings, après-shampooings, soins spécifiques, accessoires,… les produits capillaires professionnels vendus en salon de coiffure sont parfois difficiles ou impossibles à retrouver sur internet comme c’est le cas pour de nombreuses marques… un comble à l’ère de l’explosion de l’e-commerce.

Mahasoa a donc été créé par et pour les coiffeurs et barbiers indépendants afin de proposer sur une même place de marché un catalogue complet de produits capillaires professionnels qui profite à la fois aux professionnels mais également à la grande majorité des marques de produits capillaires peu visibles sur Internet.

Une solution e-commerce clé en main

Les coiffeurs n’ont pas à avoir de connaissances particulières en e-commerce. Un espace dédié à chaque salon est directement créé par les équipes de Mahasoa qui mettent en avant leur salon, leurs expertises et les produits référencés, le tout pour un abonnement forfaitaire de 20€ par mois sans engagement.

Grâce à ce nouveau canal de vente, les coiffeurs ont ainsi l’opportunité d’augmenter leur chiffre d’affaires, d’écouler plus rapidement leur stock de produits mais également de profiter d’une visibilité plus importante grâce au web sans aucun coût de création de site web. En effet, le coiffeur n’a pas à se préoccuper des coûts liés au référencement, à la communication ni à ceux des aspects logistiques.

Avec seulement une vente par jour, un coiffeur pourra facilement réaliser un chiffre d’affaires supplémentaire de 17k€ sur l’année. Sachant que le CA moyen d’un salon de coiffure est de 100 k€, et que la vente des produits représente en moyenne 7.000€ de son CA, ses ventes pourront être ainsi multipliées par 3.

Les fondateurs de Mahasoa

  • Sonia Serph-Dumagnou, présidente et cofondatrice
    Sonia, ingénieure de formation, a évolué au sein de grands groupes industriels en France mais également à l’étranger. Elle occupe le poste d’ingénieure développement packaging chez Sanofi jusqu’en 2013 dans le New Jersey (US) puis à Antony (France). En janvier 2014, Sonia rejoint Barcardi à Genève au poste de packaging developper. En 2016, Sonia décide de revenir en France pour lancer la première marketplace dédiée aux salons de coiffure : la solution Mahasoa.
  • Patrick Nesme, co-fondateur
    Patrick commence sa carrière en 2011 chez Sanofi avec de nombreuses missions dans différentes filiales du groupe à travers le monde. En 2014, Il fonde IllicoPharma, aujourd’hui dans le top 5 des pharmacies en ligne françaises. Entrepreneur dans l’âme, Patrick a été séduit par le potentiel de la plateforme Mahasoa et rejoint l’aventure dès le début en 2016 afin d’y apporter ses compétences en e-commerce.

https://www.mahasoa.com/

E-commerce et commerces de proximité, une Loi identique pour tous

La CPME vient de présenter un communiqué sur le E-commerce. Les commerçants de proximité subissent de plein fouet l’explosion de la fiscalité locale encore accentuée par la récente révision des bases locatives. A l’instar de celles portant sur l’accessibilité des personnes handicapées, les normes et les règles sont de plus en plus contraignantes.

Lorsque le E-commerce bouscule le commerce de centre-ville

Dans le même temps les géants du e-commerce échappent à toutes ces contraintes. La grogne monte chez les commerçants de proximité face à ce qu’ils considèrent comme d’injustes distorsions de concurrence couvertes, et parfois même encouragées, par les pouvoirs publics qui acceptent, par exemple, que ces multinationales soient en pratique quasiment exonérées d’impôts sur les sociétés.

Dans ce contexte, l’annonce par Chronopost de la mise en place de livraisons de colis le dimanche à la demande notamment d’Amazon, géant américain de l’e-commerce, est la goutte d’eau qui risque de faire déborder le vase. La loi régule l’ouverture dominicale des commerces, elle doit s’appliquer à tous. Amazon ne peut s’en affranchir avec la complicité de Chronopost.

À cet égard, la CPME souhaite que la Poste et sa filiale Chronopost, prennent conscience de leur responsabilité et respectent les obligations légales qui sont les leurs en matière d’aménagement du territoire. Se désengager progressivement des points Poste, si utiles aux commerçants à travers toute la France et en particulier en zones rurales, tout en faisant la courte échelle aux géants du e-commerce n’est pas admissible. La Confédération des PME, au nom des dizaines de milliers de commerçants indépendants qu’elle réunit, entend donc interpeller l’Etat, principal actionnaire de La Poste.

D’autres actions possible

Sans doute d’autres actions pragmatiques devront être trouvées, pour répondre aux besoins des consommateurs et ne pas désavantager les commerces de proximité.

CPME E-commerce

30% des e-commerçants avec Facebook augmentent leur chiffre d’affaires

En janvier dernier Oxatis, numéro 1 en Europe des solutions pour e-Commerce, dévoilait en exclusivité les résultats de sa dernière étude sur le profil du e-Commerçant. Aujourd’hui, le leader européen qui accompagne plus de 10 000 entreprises en France et à l’étranger, présente les résultats concernant les réseaux sociaux et leur impact sur le chiffre d’affaires des e-Commerçants. En 2017, ils sont 83% à utiliser les réseaux sociaux à des fins commerciales.

L’impact positif de Facebook sur l’activité des e-Commerçants

L’année 2016 marque un tournant avec le développement des ventes sur smartphones et l’impact des réseaux sociaux sur l’activité des e-Commerçants français. L’étude Oxatis/KPMG menée auprès de 2 100 e-Commerçants confirme l’utilisation massive de Facebook. 79% des marchands déclarent l’utiliser à des fins commerciales contre 76% en 2015.

Facebook est devenu un acteur intournable du e-Commerce avec 31% des marchands qui mesurent un impact positif sur leur trafic ou directement sur leur chiffre d’affaires (cela représente à minima 5% de leur chiffre d’affaires).

Contrairement à Facebook, Twitter peine à trouver un positionnement efficace car, même s’ils sont 20% au total à l’utiliser à des fins commerciales, uniquement 0,5% d’e-Commerçants observe une influence positive de Twitter sur la croissance de leur chiffre d’affaires.

Youtube et Instagram, l’image prend toujours plus de place

Deux autres tendances se démarquent : il s’agit d’une percée remarquable de YouTube et d’Instagram, utilisés respectivement par 12% et 11% d’e-Marchands. Le phénomène des photos et vidéos se renforce et représente un moyen simple mais très efficace d’augmenter ses ventes en ligne.

L’utilisation des deux réseaux sociaux s’avère bénéfique pour 4% d’e-Commerçants qui mesurent un impact positif d’au moins 5% sur leur chiffre d’affaires. Le grand perdant dévoilé par l’enquête est Google+ qui perd près de la moitié de ses utilisateurs e-Commerçants par rapport à 2015 (13,5% en 2016 comparant aux 22% en 2015).

Enquête menée par Oxatis pour la 10e année consécutive, du 16 novembre 2016 au 23 décembre 2016, sur plus de 2 100 e-Commerçants dont 430 répondants en France.

e-commerçants

Le e-Commerce vecteur de croissance des entreprises françaises en 2016

Le e-Commerce a connu une forte croissance en 2016 (+13%) en comparaison avec le commerce traditionnel. L’année a été marquée par le développement rapide des ventes sur mobile et l’adoption massive des réseaux sociaux. Les PME estiment avoir des perspectives favorables en e-Commerce et le marché de l’emploi restera très dynamique en 2017.

Selon les résultats de la 10° édition de l’enquête sur le « Profil du e-Commerçant 2017 » menée par Oxatis, une entreprise sur deux a connu la croissance en 2016 grâce à la vente en ligne. Cette croissance ne se fait pas au détriment de la rentabilité puisqu’elles sont trois sur quatre à être rentables. De plus en plus de PME utilisent l’internet pour leur activité (15% en 2016 vs 10% en 2015). Leur développement est porté par l’adoption massive du mobile, l’essor du click & collect, l’impact croissant des réseaux sociaux et le développement à l’international. Selon les estimations de l’enquête, le marché reste dynamique en 2017 et les créations d’emploi dans le e-Commerce pourraient représenter plus de 30% des créations d’emplois marchands en France.

Profil du e-Commerçant : que comprendre de cette étude ?

Les faits marquants à retenir de l’enquête sont la croissance du e-Commerce et le fait qu’il réussisse à convaincre les acteurs traditionnels (28% en 2016 vs 23% en 2013). La transformation numérique des entreprises se concrétise également par la baisse de la part des pure-players (37% en 2016 vs 45% en 2013). Par ailleurs la part des entreprises de plus de cinq employés qui vendent en ligne a augmenté de 10% en 2015 à 15% en 2016. On note que les e-Commerçants s’installent de plus en plus dans les communes rurales de moins de 20 000 habitants (81% en 2016 vs 76% en 2015) au détriment des grandes villes (19% en 2016 vs 23% en 2015). Cela nous permet de constater que les petits e-commerçants grandissent, et que les PME sont de plus en plus nombreuses à adopter le e-Commerce.

L’étude menée par Oxatis démontre également que les e-Commerçants qui vendent aux particuliers (B2C) développent pleinement leur potentiel en proposant des ventes aux professionnels (B2B) : 48% des marchands interrogés affirment pratiquer ce type de commerce.

La réussite du e-Commerce et le succès des réseaux sociaux

On note que 2016 marque une rupture dans les usages qui portent le e-Commerce avec le développement des ventes sur smartphones, en cross-canal et sur les réseaux sociaux.

80% des entreprises interrogées disposent d’une version mobile de leur site e-Commerce. Un chiffre stable à mettre en rapport avec l’explosion de ventes sur smartphones. Le nombre de sites réalisant plus de 10% de leur chiffre d’affaires sur mobile a été multiplié par deux et demi en un an : ils ne représentaient que 19% en 2015 alors qu’ils étaient 52% en 2016. Un succès du m-Commerce qui concerne tous les secteurs d’activité.

L’enquête révèle aussi l’essor du click & collect (commande en ligne et retrait en magasin). Un mode de « livraison » adopté par un e-Commerçant sur trois en 2016. Une stratégie qui permet de générer du trafic en magasin pour les 28% d’entreprises qui vendent en ligne et disposent de boutiques physiques. 40% d’entre-elles constatent une augmentation de leur chiffre d’affaires en magasin grâce à leur site e-Commerce (contre 29% en 2014).

Les e-Commerçants interrogés soulignent également l’importance des réseaux sociaux dans le développement des ventes sur Internet. Le pourcentage des marchands utilisant les réseaux sociaux dans un but professionnel reste stable depuis 2015 à 83%. On note que Facebook renforce sa position de leader (avec 79% d’e-Commerçants qui déclarent l’utiliser à des fins commerciales contre 76% en 2015), loin devant Twitter (20%) ou LinkedIn (10%). De son côté, Google+ perd près de la moitié de ses utilisateurs e-Commerçants par rapport à 2015 (13.5% en 2016 vs 22% en 2016).

e-Commerce : générateur d’emplois et accélérateur du business à l’international

Le e-Commerce est un secteur très dynamique pour l’emploi : 17% des entreprises qui vendent sur Internet ont embauché au moins un salarié en 2016 contre 4.4% des entreprises dans le commerce traditionnel (Source INSEE). Une croissance de quatre points par rapport à l’année dernière. On peut estimer que sur l’ensemble des sites e-Commerce recensés en France (environ 200 000 selon la FEVAD) cela représente 34 000 emplois créés en 2016. 26% des e-marchands annoncent vouloir embaucher au moins une personne l’année prochaine. Ces intentions d’embauche représentent 52 000 emplois à créer en 2017, soit plus de 30% des créations d’emplois marchands en France en 2017 selon l’INSEE.

Le e-Commerce facilite également le développement des entreprises à l’international : 55% des e-Commerçants exportent déjà leurs produits contre seulement 12% de la totalité des entreprises françaises selon les derniers chiffres de la Direction Générale des Entreprises (DGE).

Méthodologie :

Enquête menée par Oxatis pour la 10ème année consécutive, du 16 novembre 2016 au 23 décembre 2016, sur plus de 2 100 e-Commerçants dont 430 répondants en France.

La méthodologie, le processus de collecte et de traitement des informations ainsi que les résultats chiffrés ont été audités et validés par KPMG en janvier 2017.

e-Commerce

73,5% des e-commerce n’ont pas de formulaire de rétractation

Selon Trusted Shops, une société spécialisée dans la certification des sites internet, sur 50 e-marchands Français analysés au cours du premier trimestre 2015 :

  • 81,6% des clauses relatives au droit de rétractation sur les sites marchands sont exemptes de clauses abusives
  • 73,5% des marchands n’ont pas encore mis à disposition sur leur site le modèle de formulaire de rétractation comme l’impose pourtant la loi Hamon depuis le 13 juin 2014
  • les informations relatives à la livraison sont floues ou se contredisent à différents endroits pour 73,5% des sites.

Glynnis Makoundou, experte juridique France chez Trusted Shops, explique ces résultats ainsi : « La loi Hamon imposait de fournir un formulaire de rétractation sur chaque site internet dès juin 2014. Elle faisait cependant référence à un modèle de formulaire qui n’a été publié par décret qu’en septembre 2014. Ce décret est sans doute passé inaperçu auprès de beaucoup de marchands » souligne-t-elle.

La livraison : les clients attendent un mieux

Le problème dont les français se plaignent le plus concernant leurs achats en ligne est celui de la livraison (22% des Français qui ont déjà effectué un achat en ligne n’ont pas reçus leur commande dans les délais impartis). Peut-être parce que leurs attentes sont erronées